C’est ce qu’a probablement pensé plus d’un chef de pub en découvrant le « Summer Smart Sponso » de TF1. L’intelligence artificielle d’Aive prend votre film publicitaire, l’analyse, le découpe, l’adapte en billboard de 6 secondes. Le tout en quelques minutes, avec une remise de 30%.
Première réaction : « Génial, fini les nuits blanches à retailler des formats ! »
Deuxième réaction : « Attendez… et mon expertise dans tout ça ? »
Parce que oui, cette IA sait parfaitement identifier les moments clés d’un spot, ajuster les sous-titres, respecter l’identité de marque. Elle calcule même un score créatif prédictif. Impressionnant.
Mais voici où ça devient passionnant :
Cette IA n’est pas là pour remplacer les créatifs, mais pour les libérer. Imaginez : plus de nuits à décliner des formats, plus de briefs techniques interminables. L’énergie créative peut enfin se concentrer sur l’essentiel.
Résultat ? Quand un directeur artistique d’agence pilote cette technologie, il ne se contente pas d’optimiser. Il expérimente. Il ose. Il teste des angles narratifs impossibles avant.
L’automatisation résout l’efficacité opérationnelle. Les créatifs d’agence, eux, transforment cette efficacité en audace créative.
C’est là toute la différence : une IA seule produit du contenu techniquement parfait. Une IA guidée par l’œil créatif d’une agence produit des campagnes qui marquent.
Car au final : l’outil ne fait que révéler le talent de celui qui s’en sert. Et les agences qui sauront marier intelligence artificielle et intelligence créative créeront les campagnes les plus mémorables.
L’IA démocratise l’accès aux outils. Les créatifs d’agence démocratisent l’accès à l’inattendu.
Vous en pensez quoi ? L’automatisation va-t-elle libérer notre créativité ou l’endormir ?
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